Voyage en Ecosse

Nos trois premiers étaient consacrés à la superbe ville d’Edimbourg, flânant au milieu de ses maisons géorgiennes, de ses collines verdoyantes, de ses bars et restos sympathiques, sous la surveillance sévère du château qui domine la ville.

A l’ouest de la ville, le Dean Village est un véritable coin de bucolisme à dix minutes à pied du centre historique…

L’Arthur's seat est une colline trônant au milieu de la ville, culminant à quelques 200m de hauteur, et où les vents soufflent à en décorner les chardons.

A 45 minutes en bus d’Edimbourg, la chapelle de Roslyne (malheureusement désormais fameuse du fait de sa participation bien involontaire au cadre du Da Vinci code) est une vraie mine d’or en matière d’intrigues, de sculptures, et d’évocations, au milieu d’un cadre naturel enchanteresque.

Nous nous sommes ensuite dirigés vers le Nord de l’écosse, à Inverness, point de départ classique pour les excursions au Loch Ness et dans le (magnifique) Glen Affric.

Au départ d’Inverness, une ligne de train permet de rejoindre les abords de l’île de Skye, via un parcours des plus pittoresques au milieu des Highlands.

De l’île de Skye, nous ne verrons malheureusement que les abords à Kyle of Lockash ; il nous aurait fallu passer plus de temps pour explorer réellement cette île et ses paysages sauvages.

Enfin, nous sommes descendus à Glasgow, grande ville plus moderne que Glasgow ; plus animé aussi, mais moins charmante…

A 1h de train de Glasgow se situe New Lanark, qui fut au cours du 19ème siècle un site de mise en application d’une utopie sociale, sous la gouverne de Robert Owen ; ce dernier (dont je ne connaissais rien jusque là) semble avoir eu un rôle important dans les théories de réformes sociales, prônant des idées très en avance sur son époque sur bien des sujets.

Le château d’Edimbourg (25 mai 2006)