Sicile 2006 - Carnet de route
Jeudi 19 octobre
Syracuse
Le théatre grec de Syracuse (19 octobre 2006)
A l’intérieur de l’Oreille (19 octobre 2006)
La latomie des Capucins (19 octobre 2006)
Porte-flambeau dragon (19 octobre 2006)
Le déjeuner qui nous y est servi est superbe, agrémenté d’une thématique de truffe blanche d’Alba de saison : tartare de boeuf à la truffe blanche et thon au poivre pour Béné, variations de thon et pâtes à la truffe blanche pour moi, suivis de desserts (parfait d’amandes au gianduja et crème glacée maison à la pistache) tout à fait excellents aussi. Un régal de bout en bout, accompagné de vins sublimes. Aucun regret sur la note, plus assaisonnée que nos repas de midi habituels.
Au détour d’une rue de l’ancien quartier juif, nous tombons sur une maison abritant en son sous-sol d’anciens bains juifs, dans lesquels les femmes juives pouvaient pratiquer secrètement les rites hébraïques de purification lorsque ceux-ci furent interdits à l’arrivée des Espagnols au XVème siècle, important avec eux l’inquisition de l’époque. Cette même maison semble aussi offrir des services d’hôtellerie aux allures prometteuses. Une visite insolite et sympathique.
L’intérieur gréco-normand de la cathédrale (19 octobre 2006)
La place du Duomo (19 octobre 2006)
Nous errons à la recherche d’un café-librairie "slow food" que nous avions repéré la veille au soir ; après moults tours, nous retrouvons Biblios et sa très sympathique petite salle, malheureusement fermée.
Nous allons nous consoler avec une paire cappucino-glace (enfin "nous", c'est à vrai dire moi, Béné se contentant d’un très chaste espresso) à l’Antiche Sicile non loin, café boutique moins cocoon mais néanmoins agréable, et regorgeant de produits tipici alléchants. Nous n’en repartons pas les mains vides : une bouteille d’un des vins que nous avons goûtés à midi, une sauce à la fleur de courge, et un pesto d’amandes et d’espadon fumé.
Ceci sert d’amorce à notre quart d’heure de shopping dans les boutiques de vêtements à l’entrée de l’île. "Notre", en l’occurence, est une appelation politiquement correcte pour désigner celui de Béné, et le quart d’heuref, probablement une sous-estimation quadruple.
La nuit étant descendue sur la ville, nous nous posons dans notre café librairie qui s'est décidé finalement à ouvrir ses portes et se révèle aussi plaisant que nous l’espérions. Quelque peu fatigués par une longue journée de marche, nous nous délassons autour d’un thé chaud, aux arômes d’épices, d’agrumes et de fruits secs.
Notre chambre à la Case Feudo (19 octobre 2006)
L’Oreille de Denys dans la latomie du Paradis (19 octobre 2006)
Amphitéâtre romain (19 octobre 2006)
Une petite cour (19 octobre 2006)
Masque grimaçant (19 octobre 2006)
Palais en ruine, envahi par la végétation (19 octobre 2006)
Palais en ruine (19 octobre 2006)
Coup d’oeil au travers d’une palissade (19 octobre 2006)
Linge suspendu (19 octobre 2006)
Sur la place du Duomo, après la pluie (19 octobre 2006)
Masque (19 octobre 2006)
Ruelle et linge suspendu (19 octobre 2006)